Rayane Beyly https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/author/rayanne-beyly/ De la presse écrite au web Journalisme Tue, 04 Feb 2025 11:24:55 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/wp-content/uploads/logo-CYU-1-1-150x150.png Rayane Beyly https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/author/rayanne-beyly/ 32 32 Comment ça se passe chez les restaurateurs ? https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/comment-ca-se-passe-chez-les-restaurateurs/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/comment-ca-se-passe-chez-les-restaurateurs/#respond Fri, 25 Aug 2023 09:30:45 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=242277 Avec Rayane Beyly, on s'en va à la rencontre des restaurateurs, comment se sont-ils adaptés à la crise de l'emploi consécutive au confinement. En effet si tous ont pu rouvrir aucun n’a échappé aux difficultés de recrutement après la pandémie.

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Avec Rayane Beyly, on s’en va à la rencontre des restaurateurs, comment se sont-ils adaptés à la crise de l’emploi consécutive au confinement. En effet si tous ont pu rouvrir aucun n’a échappé aux difficultés de recrutement après la pandémie.

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Rétromobile 2022: voyage dans le temps des voitures https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/retromobile-2022-voyage-dans-le-temps-de-lautomobile/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/retromobile-2022-voyage-dans-le-temps-de-lautomobile/#respond Mon, 28 Mar 2022 10:59:23 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=240468 L’événement consacré aux voitures de collection s’est déroulé au Parc des expositions de la Porte de Versailles du 16 au 20 mars. Des milliers de personnes s’y sont rendues pour découvrir des modèles exceptionnels. La vente officielle du salon était quant à elle assurée par le groupe Artcurial, avec quelques véhicules vedettes comme la Harley-Davidson […]

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L’événement consacré aux voitures de collection s’est déroulé au Parc des expositions de la Porte de Versailles du 16 au 20 mars. Des milliers de personnes s’y sont rendues pour découvrir des modèles exceptionnels. La vente officielle du salon était quant à elle assurée par le groupe Artcurial, avec quelques véhicules vedettes comme la Harley-Davidson Softail Heritage 1340 « Laura Eyes ».

Un reportage de Rayane Beyly et Juliette Gendron.

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REPORTAGE. A Meaux, Valérie Pécresse en terrain conquis pour sa campagne https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/reportage-a-meaux-valerie-pecresse-en-terrain-conquis-pour-sa-campagne/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/reportage-a-meaux-valerie-pecresse-en-terrain-conquis-pour-sa-campagne/#respond Fri, 25 Mar 2022 18:04:23 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=240428 La candidate des Républicains a donné un meeting de campagne axé sur la politique de la ville devant de nombreux élus du territoire présents à Meaux, le mercredi 16 mars. 18h15. Le Colisée se remplit au compte-gouttes. Chaque siège trouve preneur. Seul le dernier rang reste dégarni. Dans le vestibule de la salle, les livres […]

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La candidate des Républicains a donné un meeting de campagne axé sur la politique de la ville devant de nombreux élus du territoire présents à Meaux, le mercredi 16 mars.

18h15. Le Colisée se remplit au compte-gouttes. Chaque siège trouve preneur. Seul le dernier rang reste dégarni. Dans le vestibule de la salle, les livres de Valérie Pécresse sont soigneusement répartis sur une table en vue de la séance de dédicaces à la fin de la soirée. Par où sortira celle que tout le monde attend ? Deux portes jonchent le flanc de la salle. Les paris sont lancés, et les médias ajustent leurs matériels. Tout est prêt.

Installé au quatrième rang des gradins avec un peu d’avance, Célestin, 22 ans, est là pour entendre parler de ruralité: Il estime que “des candidats font beaucoup pour les grandes villes, mais très peu bougent pour la ruralité et les terres de campagne”. Ce conseiller municipal à Germigny-l’Evêque, petit village de mille cinq cents âmes, espère un renouveau: “Macron a fait trop de dégâts pendant cinq ans. Il faut quelqu’un qui ne fait plus cette politique du “en même temps” “, lance-t-il.

Roméo, habillé en blanc à droite, possède sa carte d’adhérent chez Les Républicains depuis deux ans.

Un peu plus loin au départ de la haie d’honneur, Roméo, même âge, est adhérent LR. “On dit souvent que notre génération est moins engagée, mais je ne pense pas que ce soit le cas”, explique le jeune homme vêtu d’un t-shirt blanc floqué au nom de sa candidate. ”Ce soir, j’attends un beau meeting, un beau discours, et un bon moment avec tous les jeunes qui sont là”, ajoute-t-il.

Il est presque 19h30 et Valérie Pécresse fait son entrée par la porte du fond, en vedette qui s’est longtemps faite désirer. Le sourire aux lèvres, elle se fraie un chemin sous les “Valérie, Valérie !” scandés par la foule. Dans le cortège, le maire de Meaux Jean-François Copé est au plus près d’elle. « Elle se démarque par son expérience, elle a été présidente de région, elle connaît les banlieues par cœur et a fait un boulot formidable ici », confiait-il une demi-heure plus tôt. Les drapeaux bleu-blanc-rouge virevoltent. Une musique électro enfièvre l’enceinte. Et l’héroïne de la soirée, veste de blazer noire sur les épaules, s’assoit face à la scène occupée par les maires qui la soutiennent, d’Aulnay-sous-Bois à Nemours, en passant par Champigny-sur-Marne.

49% des pourcentages des élus en Seine-et-Marne

Bienvenue Valérie, tu es chez toi à Meaux !” déclare le maire de la ville Jean-François Copé en ouverture du meeting. S’ensuit un jeu de chaises musicales entre les différents soutiens de Valérie Pécresse qui, tour à tour, répondent aux questions du public sur la rénovation urbaine. Aménagement des territoires, égalité des chances pour le système scolaire, lutte contre la ghettoïsation. Laurent Jeanne, maire de Champigny-sur-Marne se montre fier d’avoir fait tomber un bastion communiste, tandis que James Chéron, maire de Montereau, tacle le pouvoir en place: “Vous avez aujourd’hui à l’Élysée quelqu’un qui pense tout savoir depuis son bureau et qui n’a géré que les milliards des autres. La bonne méthode, c’est celle qui a conduit à la dernière grande loi de cohésion sociale en 2004 avec Jacques Chirac et Jean-Louis Borloo, affirme-t-il sous les applaudissements.

Soutenu par le regard complaisant de Valérie Pécresse, le directeur du Conseil départemental de Seine-et-Marne Jean-François Parigi rappelle qu’elle a obtenu 49% des pourcentages des élus dans le département. “Hélas, je veux vraiment que tu gagnes et je vais perdre une grande présidente de région”, dit-il ironiquement les yeux dans les yeux à celle qui préside la région Ile-de-France depuis 2015, et participe à sa première élection présidentielle.

« Refaire des quartiers de mixité sociale »

L’énergie des spectateurs, jusqu’ici latente, se réveille à la montée sur scène de Valérie Pécresse, aux alentours de 20h30. Son tour de parole arrive enfin. Jean-François Copé lui cède le micro pour trois quarts d’heure de discours. Célestin peut être rassuré: elle promet une “ruralité conquérante” où chaque euro versé dans la politique de la ville équivaut à un euro pour les territoires ruraux. Au sommaire également, la destruction des ghettos en dix ans pour “refaire des quartiers de mixité sociale”, ou encore la création d’une banque nationale des jeunes afin de financer les études.

Valérie Pécresse à l’écoute d’une spectatrice, à l’issue de son meeting.

“Je t’aime Valérie, tous au Kärcher les Gilets Jaunes !”. Un trouble-fête fait subitement une déclaration d’amour à sa candidate. Non déstabilisée par l’épiphénomène, cette dernière reprend de plus belle une poignée de secondes plus tard, soutenue par la clameur des sympathisants: “La culture et le spectacle vivant font partie de la tradition française !”, dit-elle. Boutade déjà valable un peu plus tôt dans la même journée, après que la candidate ait été aspergée de poudre rose par le collectif Akira lors de son discours à la Confédération des petites et moyennes entreprises.

Viennent enfin ses directives envers les militants: “N’écoutez aucun sondage, n’écoutez pas ceux qui vous disent que cette élection est terminée ! Je vous demande d’aller convaincre les indécis. Aucun obstacle ne me détournera du chemin de la reconstruction de la France”. La Marseillaise est reprise en chœur avant qu’une partie des spectateurs ne fonce vers les dédicaces. Fathia, quinquagénaire, interpelle la candidate à sa descente de la scène. En cause, son usage du terme “quartiers populaires”. Elle précise: “Il faut bannir le terme car ça stigmatise toutes les personnes qui y vivent”. Valérie Pécresse écoute, sans réagir davantage. Venue accompagner un militant, Fathia reconnait avoir apprécié la soirée, sans être sûre, pour autant, d’aller voter pour Les Républicains au premier tour, le 10 avril prochain.

Rayane Beyly

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Le carnaval de retour à Paris https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/le-carnaval-de-retour-a-paris/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/le-carnaval-de-retour-a-paris/#respond Tue, 22 Mar 2022 15:06:17 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=240416 Un reportage de Rayane Beyly et Camille Bouza Ils étaient nombreux à défiler sous le soleil de la Capitale le mois dernier. Les parisiens ont profité du grand retour du carnaval le 27 février, entre bonne humeur, costumes, et danses. La fête ne devrait pas s’arrêter là puisqu’un nouveau carnaval dédié aux femmes est prévu […]

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Un reportage de Rayane Beyly et Camille Bouza

Ils étaient nombreux à défiler sous le soleil de la Capitale le mois dernier. Les parisiens ont profité du grand retour du carnaval le 27 février, entre bonne humeur, costumes, et danses. La fête ne devrait pas s’arrêter là puisqu’un nouveau carnaval dédié aux femmes est prévu à Paris le 27 mars. 

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Dorian Dreuil : “La politique ne répond plus à l’engagement des jeunes” https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/dorian-dreuil-la-politique-ne-repond-plus-a-lengagement-des-jeunes/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/dorian-dreuil-la-politique-ne-repond-plus-a-lengagement-des-jeunes/#respond Wed, 16 Mar 2022 10:49:40 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=240379 L’auteur de l’ouvrage Plaidoyer pour l’engagement citoyen: le regard d’un humanitaire (2019) milite pour la participation électorale grâce à son ONG “A voté”, créée l’année dernière. Entretien avec un défenseur du progrès démocratique. Pourquoi avoir créé l’association “A voté” ? Le projet s’est créé au lendemain du second tour des élections régionales et départementales, le […]

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L’auteur de l’ouvrage Plaidoyer pour l’engagement citoyen: le regard d’un humanitaire (2019) milite pour la participation électorale grâce à son ONG “A voté”, créée l’année dernière. Entretien avec un défenseur du progrès démocratique.

Pourquoi avoir créé l’association “A voté” ?

Le projet s’est créé au lendemain du second tour des élections régionales et départementales, le 28 juin 2021, avec une singularité: être une structure autonome, apartisane, et indépendante des pouvoirs politiques. Ce type d’initiative manque en France. Notre singularité est de partir de réflexions plutôt que d’intuitions. Le travail s’est fait avec des experts comme Jean-Yves Dormagen ou Vincent Pons pour appréhender une stratégie de campagne. La question de la mal inscription électorale a conduit à nos premières mobilisations. Quant aux membres cofondateurs, ce sont des gens que j’ai croisés. Ils avaient des engagements en commun dans leurs parcours de vie, sans forcément se connaître. Avec Flore Blondel-Goupil (co-présidente, ndlr), notre idée était de les réunir.

Avez-vous cherché à impliquer majoritairement des jeunes ?

Pas vraiment. On ne pouvait pas faire l’économie de volontaires au tout début. Notre structure ne se mobilise pas seulement pour la jeunesse. Les jeunes étaient au cœur de notre première grande campagne car beaucoup d’entre eux sont mal inscrits sur les listes, mais l’association a vocation à travailler avec toutes les tranches d’âge.

Une étude de l’Institut Montaigne démontre que près de la moitié des 18-24 ans ne considèrent pas comme « très important » de vivre dans un pays gouverné démocratiquement. Cette défiance représente-t-elle un tournant vers une démocratie de l’abstention ?

Je pense que oui. Mais commenter ce chiffre revient parfois à dire que s’il n’y a pas de régime démocratique, alors c’est une dictature. Or, l’explication vient plutôt de la perte de croyance dans la démocratie. Elle est confondue avec la politique. Il y a des jeunes très mobilisés avec des temporalités différentes et des canaux de diffusion variés: vie associative, signature de pétition, mobilisation en ligne. Ils ont besoin de s’engager là où il peut y avoir de l’impact et du changement. Aujourd’hui, nos institutions n’en ont plus.

Les canaux utilisés par la jeunesse sont-ils incompris? 

Le pouvoir politique ne répond plus aux modalités d’engagement des jeunes. Il y a surtout un vrai problème de représentation des citoyens dans les institutions.

Près de 7,6 millions de Français sont mal inscrits sur les listes électorales. Que propose votre ONG pour atténuer ce phénomène ?

Des campagnes de sensibilisation ont été menées pour faire connaître ce problème et proposer des outils simples à utiliser qui réunissent toutes les informations au même endroit, comme le chatbot sur Whatsapp. A présent, l’enjeu est de rendre le système d’inscription sur les listes électorales plus automatique. Notre démocratie est l’une des dernières à avoir ce problème de manque d’automatisation des bureaux de vote. Dans des pays comme le Luxembourg par exemple, le changement de bureau de vote se fait automatiquement dès que vous déménagez.

Notre procédure doit-elle donc être révisée ?

Elle est complexe et anachronique. On peut faire énormément de choses de manière automatique avec le service public. Le vote, moyen d’expression sacré de la citoyenneté, est rendu inutilement complexe. Et toutes les théories de la sociologie du vote montrent la même chose: plus il est simple de voter, plus les gens le font.

Quel regard portez-vous sur d’autres méthodes, comme le vote obligatoire ou par correspondance ?

Le vote obligatoire condamne la démocratie. C’est un mauvais outil pour ramener les gens aux urnes. Or, la démocratie doit être la plus belle promesse de liberté, individuelle et collective. Le vote par correspondance, lui, fonctionne très bien dans des pays où les électeurs en font la demande. Il a existé en France jusqu’en 1975. Pour certains, ne pas voter est aussi l’expression d’une pensée. Nous rencontrons beaucoup d’abstentionnistes convaincus de leur choix et opposés à notre système politique.

Que vous disent-ils ?

Ils ressentent un désintérêt majeur. Ils ont le sentiment que la participation au vote n’est pas la manière la plus forte de s’engager. Dans les temps qu’on vit, il est important de respecter les différentes expressions citoyennes.

Quels sont vos résultats obtenus en matière de lutte contre l’abstention jusqu’ici ?

A la clôture des inscriptions sur les listes électorales le 4 mars, le Ministère de l’Intérieur a indiqué que 2,5 millions de personnes se sont inscrites sur les listes (depuis le lancement du portail en ligne dédié aux élections début janvier, ndlr). A travers ce chiffre, il y a une part de gens qui ont été sensibilisés par notre travail. Les réseaux sociaux nous permettent aussi de nous installer via les nouveaux espaces de discussions politiques. 

A titre personnel, vous êtes l’ancien secrétaire général de l’ONG “Action contre la Faim”. D’où vous vient votre engagement militant ?

L’engagement bénévole est un symbole démocratique. Pour ma part, il s’agit de participer à la démocratie contributive.

Qu’attendez vous dans les prochains mois ?

D’ici les élections présidentielles et législatives, le but est de réduire le nombre de mal-inscrits et lever les freins à la participation électorale. Continuer à s’engager, trouver de nouveaux bénévoles et partenaires. Il faut montrer que la politique permet de changer vraiment les choses, particulièrement chez les jeunes. 

Propos recueillis par Rayane Beyly le 05 mars 2022.

Image : https://www.a-vote.ong/avote

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