Avec Rayane Beyly, on s’en va à la rencontre des restaurateurs, comment se sont-ils adaptés à la crise de l’emploi consécutive au confinement. En effet si tous ont pu rouvrir aucun n’a échappé aux difficultés de recrutement après la pandémie.
Avec Rayane Beyly, on s’en va à la rencontre des restaurateurs, comment se sont-ils adaptés à la crise de l’emploi consécutive au confinement. En effet si tous ont pu rouvrir aucun n’a échappé aux difficultés de recrutement après la pandémie.
Un meilleur équilibre pro / perso, c’est ce à quoi aspire les nouvelles générations. Reste à savoir comment les entreprises s’adaptent à cette nouvelle conception du travail.
Professionnels de la petite enfance, maquilleurs, coiffeurs, restaurateurs… Voici quelques-uns des milliers de métiers qui n’ont pas pu être exercés à distance pendant la pandémie. Des activités qui reposent sur le contact et les relations humaines. Relations qu’il a fallu préserver pendant cette période inédite. Une situation qui en a poussé plus d’un à se réinventer.
Bosser sans compter ses heures..ça fait plus rêver personne. Le mythe du travail passion, plus personne n’y croit. C’est un état d’esprit qui s’est généralisé depuis la crise sanitaire.
Accorder plus de temps à ses enfants, dormir plus longtemps ou bien faire du théâtre ou même de la patisserie…à priori, le télétravail n’a que des avantages…
Télétravail, temps partiel, reconversion, voire changement total de mode de vie. Qui n’a pas entendu parler de ces citadins qui plaquaient la ville pour la campagne, pour enfin accéder au rêve de la maison avec jardin ?
L’hémorragie continue. Depuis la crise sanitaire, les cuistots se détournent des fourneaux. Face à la pénurie de main d’oeuvre, le secteur de l’hôtellerie-restauration se retrouve fragilisé.
Travailler moins souvent mais plus intelligemment ? C’est le débat du moment. La semaine de quatre jours séduit de plus en plus de Français: selon YouGov, 75% d’entre eux y sont favorables. Moins de stress, plus de temps pour soi… Cette nouvelle organisation a-t-elle démontré son impact sur le bien-être et la santé des salariés.
Avec de la volonté, on peut trouver un job. C’est du moins ce qu’Emmanuel Macron affirme. Mais pour ceux et celles qui galèrent à entrer et à s’épanouir au travail parle-ton de fainéantise?
Plus de 70% des jeunes se disent prêts à quitter leur job s’ils ne peuvent pas recourir au télétravail, selon une étude ADP. Un temps imaginé comme une alternative, le distanciel pourrait bien devenir une norme.
Ils étaient applaudis pendant le confinement, ils sont aujourd’hui oubliés. Reportage sur la situation de l’hopital public en manque de moyens, après le départ de plusieurs soignants dû à la crise du Covid.
L’essor du télétravail a conduit des milliers de Français à adopter le digital nomadisme. Un choix de vie atypique qui s’oppose au mode de vie sédentaire, correspondant à la norme. Mais derrière les palmiers et les sourires des réseaux sociaux, la réalité affective et administrative est impitoyable.
Autre secteur touché durement l’évènementiel : Salles de concerts fermées, défilés de modes, événements sportifs repoussés : malgré la crise, des entreprises du secteur y on vu une occasion de se réinventer. Exemple avec Novelty, leader en Europe.
Avec la pandémie, les reconversions professionnelles ont connu un bond. De nombreux cadres quittent leur zone de confort pour des métiers manuels, plus modestes.
Moins investis que leurs aînés, plus difficile à manager et plus exigeant. Les jeunes fraîchement sortis des études covidés, ont dû adapter leur mode de travail du jour au lendemain et ne veulent pas revenir au système d’avant. Les entreprises sentent bien qu’il va falloir s’adapter à ce nouveau phénomène de société.
Et si faire le minimum au travail était la clé pour s’épanouir ? Depuis la crise du covid et les vagues de reconversion, prises de conscience et quête de sens, un phénomène fait sa place en France : le quiet quitting, ou l’art de ne pas s’investir au travail.