Eline Ulysse Archives | Master Journalisme - Gennevilliers https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/mot-clef/eline-ulysse/ De la presse écrite au web Journalisme Sun, 04 Oct 2020 17:20:06 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/wp-content/uploads/logo-CYU-1-1-150x150.png Eline Ulysse Archives | Master Journalisme - Gennevilliers https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/mot-clef/eline-ulysse/ 32 32 Les vidéos qui dérangent https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/les-videos-qui-derangent/ Mon, 28 Apr 2014 14:30:21 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=1464 L’article Les vidéos qui dérangent est apparu en premier sur Master Journalisme - Gennevilliers.

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Une enquête réalisée par Assia Labbas, Eline Ulysse, Anton Kunin et Maxime François dans le cadre de l’atelier « controverses ».

 

Les vidéos sont-elles les armes les plus dangereuses d’Al-Qaïda et AQMI ? C’est une question qui en entraîne une autre. Si oui ou non, les médias peuvent les diffuser ? Leur impact peut avoir des conséquences désastreuses. Elles sont un moyen de recrutement et d’endoctrinement efficace. Le rôle du journaliste est posé au milieu d’une grande controverse, s’ils doivent informer sur les faits d’Al-Qaïda ou s’ils font partie de leur communication. Au Maroc, un journaliste a été accusé en 2013 d’apologie du terrorisme pour avoir publié un lien vers une vidéo d’AQMI. Le débat est lancé. Où est la limite entre la sécurité nationale et la liberté de la presse ? Que faut-il faire de ces vidéos et des nouveaux outils des cyberjihadistes? Nous avons rencontré des spécialistes, des journalistes ainsi que les protagonistes de ces affaires. Nous vous proposons une enquête enrichie de vidéos, de sons et d’infographies pour répondre à ces questions.

 

 

 

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Léo Malek : « Voir la satisfaction du client et le compte en banque qui gonfle… » https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/leo-malek-voir-la-satisfaction-du-client-et-le-compte-en-banque-qui-gonfle/ Tue, 18 Feb 2014 15:39:29 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=142 C’est en forgeant qu’on devient forgeron. Voilà un proverbe qui s’applique bien à Léo Malek. Ce jeune Valdoisien, alors âgé de 20 ans s’est lancé dans le monde de l’entrepreneuriat. Graphic Connection est née en 2011. Posé sur son bureau, entouré de ses crayons et de prototypes de produits, Léo analyse le chemin parcouru. Dès […]

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  • C’est en forgeant qu’on devient forgeron. Voilà un proverbe qui s’applique bien à Léo Malek.
    Ce jeune Valdoisien, alors âgé de 20 ans s’est lancé dans le monde de l’entrepreneuriat. Graphic Connection est née en 2011. Posé sur son bureau, entouré de ses crayons et de prototypes de produits, Léo analyse le chemin parcouru. Dès 16 ans, le jeune homme intègre le milieu de l’art visuel. À travers un stage dans une maison d’édition, il fait ses premiers pas dans le graphisme. Deux ans plus tard, il abandonne sa terminale S pour travailler à temps plein au sein de cette structure. Léo Malek va néanmoins reprendre le chemin de l’école. « Vu mon salaire de misère, j’ai décidé de reprendre les études. » Le jeune homme se réoriente vers une école de l’image, Les Gobelins. Fort de nouvelles compétences, Léo Malek ne s’arrête pas en si bons chemins. Il décide d’entreprendre un certificat d’aptitude en conception design. En parrallèle de ses études, il se lance à son compte en septembre 2011 : « Il s’agissait de m’épanouir davantage et d’acquérir de l’expérience ». Graphic Connection voit le jour.
    Le jeune entrepreneur alterne alors formation pratique, cours théoriques et son projet personnel : « Je ne sortais pas. Je travaillais entre 50 et 60 heures par semaine. Je passais des nuits blanches à travailler sur mon projet personnel. » Des sacrifices aujourd’hui récompensées. Léo Malek estime avoir mûri personnellement et s’être professionnellement enrichi : « Voir la satisfaction du client, le compte en banque qui gonfle, le bouche à oreille qui fonctionne, toutes ces choses me donnent la force de continuer. »
  • Une renommée que le jeune homme explique par une discipline de fer : « Il faut être carré et organisé. Je m’efforce de tenir mes engagements envers mes clients en respectant les délais de livraison. »
    Au fur et à mesure, le carnet d’adresses du jeune graphiste-designer se garnit. Du petit restaurant grec à la holding d’Aéroports de Paris en passant par les particuliers, Graphic Connection a pris son envol. Des groupes réprésentant 15% de son porte-feuille de clients. « Mais je dois avoir quatre projets par mois pour être rentable ». Aujourd’hui, Léo Malek témoigne d’une certaine impatience. « Mon seul souci est de sortir du travail au “black” et de déclarer officiellement mon entreprise». En effet, l’enregistrement administratif de Graphic Connection permettrait au jeune entrepreneur de décrocher des contrats supplémentaires. « Le fait que je sois jeune et mon entreprise non déclarée sont autant de facteurs qui rebutent certains clients à me faire confiance. »Un problème que Léo espère vite régler avec l’aide de la Maison des Artistes. Il s’agit d’un organisme qui permet aux jeunes entrepreneurs de se déclarer en tant qu’artiste auteur et de prendre en charge tous les frais adjacents (URSSAF, cotisation pour la retraite, etc.). Malgré cette impatience, Léo a sa tête bien posée sur les épaules. « Je garde à l’esprit que le client est roi et que je dois m’adapter. » Léo Malek se donne encore cinq ans pour stabiliser son entreprise avant de recruter des salariés .
    Alors c’est qui le patron?
  • @ElineUlysse – Master 2
    M le journal – octobre 2013
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