master de journalisme de Gennevilliers Archives | Master Journalisme - Gennevilliers https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/mot-clef/master-de-journalisme-de-gennevilliers/ De la presse écrite au web Journalisme Tue, 10 Nov 2020 19:38:00 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/wp-content/uploads/logo-CYU-1-1-150x150.png master de journalisme de Gennevilliers Archives | Master Journalisme - Gennevilliers https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/mot-clef/master-de-journalisme-de-gennevilliers/ 32 32 Réfugiés : la solidarité 2.0 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/la-solidarite-2-0/ Thu, 19 Nov 2015 17:06:40 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=4164   L’aide aux réfugiés s’organise aussi sur les réseaux sociaux. Appel aux dons, recrutement de bénévoles, la plate-forme de réseau social Facebook voit émerger une nouvelle forme de solidarité qui permet de mettre en relation associations et citoyens connectés. Aide aux réfugiés syriens, Réfugiés de la Chapelle en Lutte, Plate-forme d’aide aux réfugiés en France… […]

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L’aide aux réfugiés s’organise aussi sur les réseaux sociaux. Appel aux dons, recrutement de bénévoles, la plate-forme de réseau social Facebook voit émerger une nouvelle forme de solidarité qui permet de mettre en relation associations et citoyens connectés.

Aide aux réfugiés syriens, Réfugiés de la Chapelle en Lutte, Plate-forme d’aide aux réfugiés en France… Voici quelques exemples de ces nombreux groupes qui se multiplient depuis quelques mois sur le réseau social. Véritables relais d’associations ou initiatives spontanées et individuelles, ces communautés 2.0 permettent de donner une vitrine aux besoins des réfugiés arrivés en France.

Sur ces groupes auxquels sont inscrites quelques centaines voire milliers de personnes, les messages de volontaires sont quotidiens, les propositions diverses : cela va du don de produits de première nécessité (nourriture, hygiène, vêtements…) à des objets plus variés ( titres de transport, téléphones, livres, jouets…).

La souris défile et les posts s’enchainent : ici, quelqu’un offre de ramener des crayons de couleurs et des feuilles de papier pour les enfants, là, un peu plus bas, un internaute a quelques dictionnaires en trop…  » Si ça peut aider dans les démarches administratives »…

Des associations débordées

On y propose du temps aussi : sur le groupe de la Chapelle en Lutte par exemple, beaucoup se portent volontaires pour « passer dans l’après-midi », « donner un coup de main », « voir ce qu’il y a à faire ». Une instantanéité dont profitent les associations : tout au long de la journée, elles postent sur la page de la communauté les besoins urgents auxquelles elles font face et il ne faut souvent pas plus d’une heure pour qu’une personne se porte volontaire.

La nouveauté ici ? Ces internautes ne sont pas forcément affiliés une association, mais ont le temps d’agir à ce moment clé. Traduction de documents, transports d’urgence ou cours de français se trouvent donc parfois assurer par des personnes indépendantes de tout organisme. Cet élan de solidarité a cependant son revers. Tout aussi spontané qu’irrégulier, il démontre les limites du système : associations ou collectifs se retrouvent paradoxalement débordés par les dons des internautes et obligés de les refuser. Et c’est sur le réseau social, bien sûr, qu’ils l’écrivent et demandent aux internautes de stopper les dons.

Entre la crise humanitaire en cours et la lenteur de l’action politique pour la résoudre, les associations font face à un nouveau défi : comment gérer à long terme ce nouveau type de « bénévolat » à la fois utile et désordonné?

Solidarité 2.0 et partage d’informations

Véritables lieux d’échange, ces groupes d’internautes nourrissent aussi le partage d’informations : on y publie des articles de presse, les nouvelles mesures politiques sont relayées, et ardemment commentées.  Les discussions vont bon train, à l’instar du groupe Facebook  la chapelle en lutte  où l’appel au don se mêle aux débats politiques et à l’affrontement d’idées.

@Marine Raut

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Youtube devient payant https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/youtube-devient-payant/ Wed, 04 Nov 2015 16:34:16 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=4092 Robert Kyncl, chef des affaires Youtube, annonce le lancement de Yotube Red en avant première à Los Angeles le 21 octobre 2015 Qui n’a pas déjà rêvé de sauter les pubs Youtube avant d’entamer la vidéo du chat qui joue du piano ? C’est désormais possible, du moins aux Etats-Unis, depuis le 28 octobre grâce […]

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Robert Kyncl, chef des affaires Youtube, annonce le lancement de Yotube Red en avant première à Los Angeles le 21 octobre 2015

Qui n’a pas déjà rêvé de sauter les pubs Youtube avant d’entamer la vidéo du chat qui joue du piano ? C’est désormais possible, du moins aux Etats-Unis, depuis le 28 octobre grâce à Youtube Red. Pour le prix d’un abonnement téléphonique mensuel 9.99 $, les internautes pourront désormais regarder leurs vidéos sans interruptions et télécharger leurs contenus pour les visionner hors ligne.

Considérées par beaucoup comme des parasites, les pubs qui ne durent pourtant que quelques secondes irritent. Un agacement bien compris par Wladimir Palant qui crée dès 2006 Adblock Plus. Ce logiciel bien connu des youtubers permet de bloquer la pub contenue sur le web. Plus encore, Adblock donne l’opportunité de choisir grâce à un filtre, « des Publicités Acceptables », sélectionnées au préalable par l’internaute. Selon leur site officiel, le fondateur d’AdBlock a déclaré  » Nous ne pensons pas que toutes les publicités soient mauvaises et nous savons qu’elles financent de nombreux sites Internet. »

Le business model de Youtube remis en question

Avec un milliard d’utilisateurs, Youtube est une mine d’or pour les publicitaires. Annonceurs et sponsors se bousculent à la porte des chaînes les plus populaires pour engranger le plus de vues possibles. Dès février 2015 la plateforme avait durci sa politique de placement de produit vis à vis des marques. Le géant du web chercherait-il à regagner son indépendance, face à des sponsors qui prennent de plus en plus de place ? Ceux qui en pâtissent le plus sont avant tout les youtubeurs, qui pour certains tirent leurs principaux revenus de leurs sponsors. C’est le cas des stars des tutos sur internet, comme Enjoy Phoenix, égérie de plusieurs marques de cosmétiques.

C’est bien le manque à gagner qui a poussé le site de partage de vidéo en ligne a créé Youtube Red. Loin devant nos Cyprien et Norman nationaux, le youtubeur le mieux payé de la planète (6,7 millions d’euros empoché en 2014), le suédois Felix Kjellberg, dît PewDiePie s’est exprimé sur le sujet sur sa page Tumblr. « Maintenant, il y a des questions restées sans réponse comme; Comment se fait-il que les youtubers ne soient pas payés pendant la période d’essai du mois de novembre ?A qui sont reversés les 10 dollars ? En valent-ils le coup ? « 

Vers un web tarifé

Prochaine étape, la création d’une plateforme musicale payant, « Youtube Key Music ». Un pas vers le streaming à l’image d’Apple Music lancé il y a peu. Avec une multitude de catégories de vidéo accessibles sur sa plateforme, Youtube cherche à concurrencer Netflix, Deeezer ou encore Spotify. Des espaces payants dès leur création, contrairement à Youtube. C’est le défis des prochaines années, faire accepter aux utilisateurs du web de payer pour un contenu livré gratuitement. Le groupe Alphabet (Google- Yoube) tente de rassurer et assure que le site restera libre d’accès pour le reste des non-premium.

Une reconversion qui paraît perdue d’avance. Selon un sondage Métro News, sur plus de 1400 votants, 94% des internautes ne sont pas favorable à une version payante de Youtube.

@Ndj_estelle

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Assias Labbas publie dans le NYT https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/assias-labbas-publie-nyt/ Fri, 09 Jan 2015 11:51:58 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=2501 Par Victoria Laurent Le 1er janvier dernier, Assia Labbas publiait son premier article sur le site du New York Times intitulé International Artists Seek Out Real Sound in Paris. Pour ce travail, la jeune femme, issue de la première promotion du master de journalisme de Gennevilliers a rencontré le producteur de 47 ans Philipe Zdar. […]

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  • Par Victoria Laurent

    Le 1er janvier dernier, Assia Labbas publiait son premier article sur le site du New York Times intitulé International Artists Seek Out Real Sound in Paris. Pour ce travail, la jeune femme, issue de la première promotion du master de journalisme de Gennevilliers a rencontré le producteur de 47 ans Philipe Zdar. En poussant la porte rouge d’un studio d’enregistrement de Montmartre elle y a découvert un univers « passionnant et authentique ». C’est ici, attiré par la « French Touch » musicale, que des artistes comme Kanye West, Pharrell Williams, Phoenix et même Cat Power ont travaillé. En 2008, c’est dans ce studio, baptisé Motorbass, que le groupe Phoenix enregistre son album qui sera récompensé par un Grammy Award du meilleur album indépendant en 2010.

    Au cours d’un stage de cinq mois sur la version papier du New York Times en tant qu’assistante de rédaction, Assia a pu collaborer avec de vrais journalistes sur différents reportages. « J’y suis allée parce que j’avais l’envie d’être correspondante à l’étranger. Un stage dans cette rédaction me permettait d’appréhender le métier et aussi de voir comment traiter l’actualité internationale » précise Assia. Ce stage lui a permis d’explorer des sujets très variés, tels que la grève des taxis parisiens, la sphère de la production musicale ou encore « les jeunes et la rue ». Concernant les méthodes de travail qu’elle a acquises, elle ajoute : « la différence entre travailler au New York Times et dans un quotidien comme Libération ou le Figaro,  c’est qu’il s’agit d’un journalisme anglo-saxon. Nous étions amené à traiter les faits avant tout, sans exposer nos opinions. D’ailleurs, les pages Opinion et les pages News sont séparées.»

    Pour lire l’aticle : Cliquer ici

     

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