Par Alix Demaison

Jeudi 17 mars, les étudiants en 2ème année de master journalisme ont enregistré une émission radio avec Aziz Senni autour du seul mot « travail » dans le cadre de l’atelier radio encadré par Nordine Nabili. L’occasion, bien sûr, de parler de la loi El Khomri, fortement contestée. Mais pas que !

Notre invité a dirigé une PME, Alliance Transport et Accompagnement. Il s’est aussi fait connaître par ses engagements politiques. Membre fondateur de l’UDI aux côtés de Jean- Louis Borloo, il a quitté le parti il y a deux ans. Aziz Senni vient d’être nommé vice- président de la commission Dynamique entrepreneuriale du Medef.

Tout au long de l’émission, présentée par Loïk Pertuiset, Aziz Senni a réagi aux différentes interventions, réalisées par Célia Coudret, Anaïs Demont, Alix Demaison, Quentin Battais, Joanna Thevenot et Pierre-Yann Mazari .

Merci à  Faïza Zerouala, journaliste à Mediapart qui est intervenue en direct de Tours.

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Par Quentin Battais et Romain Lambic

Tel-Aviv, aéroport Ben Gurion, 5h30 du matin heure locale.

À peine le soleil levé et nos bagages récupérés, nous filons en bus vers la première étape de notre long périple sur les routes d’Israël et de la Palestine. Gil Perez sera notre guide pour une grande partie du voyage. Premier choc en sortant de l’aéroport : des drapeaux israéliens accrochés à chaque lampadaires sur des kilomètres, sans compter ceux qui flottent sur les voitures et ceux accrochés aux maisons. Nous pouvons déjà constater un fort accent de patriotisme. Le long de l’autoroute A1 qui nous mène à Jérusalem, les paysages qui défilent sont « bibliques », à entendre notre guide, passionné par son pays.

Nous débarquons enfin à Jérusalem, capitale de toutes les convoitises et de toutes les religions, l’urbanisme et l’architecture sont loin des codes occidentaux que nous connaissons. Après un court petit-déjeuner et une rapide présentation du centre-ville moderne, nous rencontrons sur l’Avenue de Yafa Marc Israel Sellem, photographe francophone pour le Jerusalem Post, qui nous fait part de son expérience professionnelle.

Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivons à la vieille ville, entourée de fortifications datant du XVIe siècle (période de domination ottomane). Un ensemble de petite taille : 2 km² environ. Juifs orthodoxes, juifs modérés, chrétiens, musulmans… tous partagent un même espace. Nous entrons tout de suite dans le sujet de la religion, auquel nous allons nous confronter durant cette première journée. Nous pénétrons dans la bâtisse qui abrite le tombeau de David.

Après avoir arpenté les étonnantes rues parfumées des quartiers arméniens et juifs, nous arrivons devant le Mur Occidental (le Mur des Lamentations des Français), dernier vestige du temple de Jérusalem, premier lieu de pèlerinage juif, avec en arrière-plan l’inaccessible Dôme du Rocher, réservé aux musulmans. Nous comprenons alors tous les enjeux religieux et géopolitiques de ce si petit lieu.

Une première rencontre nous attend, à la Custodie de la Terre Sainte. Pour s’y rendre, nous traversons le quartier arabe et montons d’interminables marches. Une fois assis dans la salle de conférence de ce lieu, nous faisons connaissance avec Pierbattista Pizzaballa, custode italien de Jérusalem. Pendant 45 minutes, il nous explique la condition chrétienne sur place et ses relations, plutôt bonnes, avec les autres religions et communautés de Jérusalem.

Sans transition, nous voilà dans le quartier chrétien pour découvrir l’un des lieux saints du Christianisme : le Saint-Sépulcre, construit à l’endroit où les Romains auraient crucifié Jésus. L’église est partagée entre les chrétiens de toutes obédiences : romains, orthodoxes… et pèlerins de chaque religion sont là, se pressent. Quelques musulmans viennent également depuis peu.

Après cette visite, notre premier temps libre est le bienvenu et nous permet de prendre beaucoup de recul sur le poids historique de cette ville.

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Un article de Quentin Battais

Lundi 8 septembre avait lieu la rentrée de la troisième promotion du Master de journalisme de Gennevilliers. Celui-ci a pour ambition de former de futurs journalistes, particulièrement dans le domaine du web, en proposant aux étudiants des cours leur permettant d’acquérir de nombreuses connaissances dans les différents médias.

Ce « cru » 2014 est composé de 15 étudiants, bac + 3 minimum, venant d’horizons divers. On retrouve ainsi des parcours universitaires aussi variés que l’information et la communication, les lettres modernes, le cinéma, le journalisme, les sciences politiques ou encore l’histoire. Ces « journalistes en herbe » ont pour la plupart déjà de nombreuses expériences dans le monde de la presse et des médias. Cette promotion a été accueillie lundi par son directeur, Jean-Claude Lescure, et l’équipe enseignante.

Une école de la pratique

Dans un monde professionnel en profonde mutation, le Master de journalisme cherche à donner aux étudiants des compétences multiples leur permettant de maitriser les supports traditionnels (papier, radio et télévision) que le journaliste web est amené à utiliser dans son exercice.
Les étudiants ont ainsi pu, dès cette semaine de rentrée, bénéficier de cours pratiques, dispensés par des professionnels, tels que l’écriture de dépêches, l’initiation à la radio ou encore les techniques rédactionnelles. Mais le Master ne laisse pas pour autant de coté les cours plus théoriques (économie, droit, connaissances du web, culture des médias…), l‘objectif étant de permettre aux étudiants d’acquérir un bagage culturel indispensable à leur futur métier.
A côté de ces nombreux cours, chaque vendredi, l’école accueillera des intervenants professionnels qui éclaireront les étudiants dans les domaines des médias, de la communication et du web. Ainsi, l’école ouvrira ses portes, le 26 septembre, à Romain Huet, sociologue et responsable de la communication du collectif « Tous pour la Syrie », le 3 octobre, à Romain Chanut, spécialiste des réseaux sociaux, et, le 10 octobre, à Jean-Christophe Rivière, collaborateur du sénateur-maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin.

Une école où il fait bon vivre

Situé à deux pas de Paris, le Master de journalisme de Gennevilliers offre aux étudiants un cadre idéal. En effet, outre des cours dispensés par des acteurs de la profession, il dispose d’infrastructures flambant neuves. Les étudiants ont ainsi à leur disposition une salle de rédaction, un studio radio et de télévision ainsi que de nombreux matériels utiles à la pratique journalistique.
Dans ce cadre unique, les étudiants ne pourront que s’épanouir pleinement dans l’acquisition des compétences nécessaires à leur futur métier.

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