On passe à côté sans vraiment s’en rendre compte, en y jetant parfois un coup d’œil. Il faut dire qu’en empruntant la route qui longe le port du Gennevilliers, on a plus l’impression d’avoir affaire à une zone industrielle qu’à un véritable port au sens où on l’entend. Pas de marin, à première vue.

Pire, impossible d’apercevoir une goutte de la Seine pour se rincer l’œil.

Pourtant, c’est le premier port fluvial de France. Sûrement pas le plus charmant donc, mais le plus important, de par son emplacement stratégique, près de Paris, de la Défense, et d’une multitude d’autres ports. Le port de Gennevilliers, c’est une superficie de 400 hectares. 300 000 mètres carrésd’entrepôts. 20 millions de tonnes en transit chaque année. Et, le plus important, 8 000 emplois.
Ça valait bien le détour. Du coup, les étudiants du Master ont décidé de vous le faire découvrir, à l’occasion d’un atelier radio animé par Anne Brunel, journaliste de Radio France. A travers une émission compilant sept reportages, ils se sont intéressés à la vie du port, à ceux l’animent, en y travaillant tous les jours, à son histoire. Avec, pour conclure, un reportage en trois volets à bord même d’une péniche, en compagnie d’un « pousseur », ces matelots qui vivent à l’année sur leur bateau pour transporter des cargaisons aux quatre coins de la France.Cerise sur un gâteau dont vous pouvez vous délecter ci-dessus.

L’article Le port de Gennevilliers est apparu en premier sur Master Journalisme - Gennevilliers.

Sur Mouv’

Octobre 2013, premier cours de radio devant le micro, l’info, celle qui se doit d’être concise, efficace, dépourvue de figures de style ou de références littéraires. Louise doute. Passionnée de littérature et de cinéma, elle s’interroge ces « Lettres Modernes » étudiées à la Sorbonne. Va-t-elle les « appliquer » au journalisme?. Elle doute puis, met le pied à l’étrier.

Dans le cours controverse de Romain Badouard, elle traite de l‘influence des sondages sur la vie politique* et déclare sur le site des étudiants NUMEROS ZERO,  « Devenir journaliste culturel est bien sûr mon ambition mais intéressée également par la politique nationale et internationale, je n’hésite pas à aller sur le terrain interviewer celles et ceux qui font l’actualité du monde d’aujourd’hui et de demain. L’information se renouvelle chaque jour ? C’est une éclosion à laquelle j’assiste de manière impliquée.  » Et elle le prouvera lors de son premier stage chez Politis où elle signera avec Denis Sieffert un interview de Daniel Cohn-Bendit, ou encore un article sur les « cancers hormonaux dépendants« .

Besoin de respiration, d’évasion, influence des Romantiques? Louise sait aussi nous parler d’amour avec notamment ses dernières contributions dans NUMEROS ZERO (papier) : Un billet d’humeur intitulé « Ivresse Nuptiale » ou encore cet article qui traite du devenir des lettres d’amour.

Son témoignage :

« Première expérience en direct et premiers pas chez Radio France. Toute la journée, j’avais le ventre noué et les mains un peu moites, mais
une fois qu’on arrive sur le plateau, la pression redescend. Tous les journalistes m’avaient donnée de précieux conseils et vivement encouragée.
Un peu comme avant de rentrer sur un ring de boxe, on inspire un grand coup et on lâche tout dans le micro. Maintenant que je suis passée à
l’antenne sur Mouv’, je n’ai qu’une seule envie, recommencer ! Me projeter de nouveau en 2020 pour ramener du futur des informations à tous ceux qui tendent l’oreille. »

http://www.lemouv.fr/diffusion-zoom-sur-2020-la-drague-30

 

* Etude réalisée avec Pauline Thuillot, Vincent Souchon et Baptiste Piroja-Pattarone

L’article Louise Pluyaud est apparu en premier sur Master Journalisme - Gennevilliers.