Magazine https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/sujet/magazine/ De la presse écrite au web Journalisme Wed, 05 Apr 2023 09:13:22 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/wp-content/uploads/logo-CYU-1-1-150x150.png Magazine https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/sujet/magazine/ 32 32 Vivre la retraite https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/vivre-la-retraite/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/vivre-la-retraite/#respond Tue, 21 Feb 2023 14:25:46 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=241401 De la place de la République à Nation, de La place d'Italie à Vauban, Jérémy Torres suit les manifestations contre les retraites

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Vivre la retraite

manifestation du 31/01/23
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Les 19 et 31 janvier, des centaines de milliers de manifestants se sont rendus dans la rue contre la réforme des retraites. Alors qu’un quart des plus pauvres est déjà mort à 62 ans, et que l’espérance de vie en bonne santé est de 62 ans pour les hommes et 64 ans pour les femmes. Pour les travailleurs, il est impensable de travailler deux années de plus.

De la Place de la République à Nation le 19, puis de la Place d’Italie à la Place Vauban le 31, les manifestants ont défilé dans Paris pour montrer leur désaccord.

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Cartographier la guerre en Ukraine : Comment le journal Le Monde réussit ce travail « pas si facile » ?   https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/cartographier-la-guerre-en-ukraine-comment-le-journal-le-monde-reussit-ce-travail-pas-si-facile/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/cartographier-la-guerre-en-ukraine-comment-le-journal-le-monde-reussit-ce-travail-pas-si-facile/#respond Thu, 09 Feb 2023 11:46:14 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=241267 Cartographies web et print de la guerre en Ukraine – Mentions légales : Service Infographie du journal Le Monde Le 11 octobre 2022, Le Monde publie sa 200ème cartographie sur la guerre en Ukraine. Des productions complexes opérées par l’équipe multitâche du pôle infographie et cartographie du journal. Delphine Papin, la responsable du service, raconte […]

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Cartographies web et print de la guerre en Ukraine – Mentions légales : Service Infographie du journal Le Monde

Le 11 octobre 2022, Le Monde publie sa 200ème cartographie sur la guerre en Ukraine. Des productions complexes opérées par l’équipe multitâche du pôle infographie et cartographie du journal. Delphine Papin, la responsable du service, raconte comment son équipe parvient à cartographier, en temps réel, ce conflit.

Dans la nuit du 23 au 24 février dernier, la Russie envahit l’Ukraine, comment avez-vous réussi à cartographier le commencement de ce conflit ?

Delphine Papin : Comment vous dire que cette nuit-là, la rédaction découvre totalement l’Ukraine. Quelques heures avant la publication du journal papier.

On se posait plusieurs questions pour réussir la visualisation du pays : « Il y a-t-il des montagnes ? Des fleuves ? Des routes ? ».

Puis on s’est débrouillé avec les informations que l’on avait : informations satellitaires, tweets, informations de militaires présents sur place.

D’autres personnes vous ont-elles aidé à la production de cette toute première cartographie ?

Évidemment ! Cette soirée – là nous avons travaillé avec les deux rédacteurs de l’article print, Nathalie Guibert et Allan Kaval.

Le texte n’est pas l’ennemi de la carte. Au contraire, c’est son bon copain. Les deux se complètent.

Le titre de leur papier : L’ordre de bataille de Vladimir Poutine. Plus précisément, l’écrit détaillait comment la guerre allait s’organiser sur terre, en mer et dans les airs. Notre mission était donc d’essayer de cartographier ces éléments – là.

C’est donc ça l’objectif de toutes vos cartographies : illustrer les propos d’un article ?

Pas seulement non. Il est évident que l’outil du dessin rend plus clair des situations. Nos lecteurs nous le disent : ils comprennent mieux la guerre en Ukraine avec des couleurs, des formes et nos légendes. La carte est donc à l’instar d’un papier, une source d’information.

Mais la cartographie permet aussi d’habiller une page d’un journal. Elle la rend plus attractive visuellement. Le public se retrouve, par conséquent, aussi attiré par le texte de nos rédacteurs

Comment faites – vous, alors, pour représenter de manière attractive un conflit aussi mouvementé ?

Cela n’a pas été facile. Comment monter une offensive, une contre-offensive, une avancée de char ? Comment créer ce mouvement sur une carte qui pourtant est statique ?

Il a donc fallu s’aider des archives de cartes. Les chercheurs de mon équipe ont regardé le site de la Bibliothèque nationale de France. Résultat : ils ont retrouvé des cartes de la guerre franco-allemande de 1870 et de la Première guerre mondiale.

Ensuite, nos cartographes et illustrateurs ont travaillé en binôme pour la réalisation. Ils ont donc repris certains pictogrammes, le même type de flèches, les hachures. Pour les couleurs, ils les ont adaptés au conflit. Comme dans les cartes de la Guerre Froide, la Russie allait être représentée en rouge. Mais ça sera un rouge plus adouci pour ne pas rappeler la Russie de l’URSS.

Autre idée en tête pour notre service : une carte doit pouvoir être lue en une dizaine de minutes maximum. Il faut donc veiller à ne pas mettre trop de légende, de symboles qui pourraient rendre le dessin illisible et donc perdre le lecteur.

Les cartes suivantes ont représenté des villes et des régions ukrainiennes. Comment cartographie-t-on à plus petites échelles ?

Mon service s’aide des moyens présents sur le terrain. Par exemple, pour couvrir cette guerre, des centaines de rédactions internationales sont présentes dans l’Ukraine. Une couverture du conflit très dense. Nous pouvons donc reprendre et analyser leurs informations locales pour les cartographier.

Aussi, Internet nous aide grandement. Ces onze derniers mois, on a pu travailler grâce à toutes sortes de traces numériques : drones, satellites ou encore radars.

Des informations issues de bases locales, comme Liveuamap, actualisée par la population ukrainienne.

Et aussi des données partagées par deux entreprises de data. La première : Maxar Technologies qui nous donne toutes les images satellites de l’Ukraine qu’elle enregistre. La seconde : Masae Analytics, notre relayeuse d’images radars des zones géographiques de notre choix.

Comment arrivez – vous à représenter sur carte papier ces données numériques ?

Une fois collectées, mon équipe les étudie toutes. Notre objectif : les comprendre nous même avant de les faire comprendre au lecteur.

Par exemple, pour la cartographie de Marioupol : Du siège à la chute (publiée le 23 mai 2022) nous avons repéré dans les données toutes les zones endommagées de la ville, on les a distingués et on les a représentés sur la carte par des points jaunes et rouges.

Les journalistes reporters et photographes du Monde vous sont-ils d’une grande aide dans la réalisation de vos cartes ?

Totalement ! La rédaction a envoyé, pour couvrir ce conflit-là, 4 journalistes et 4 photographes en permanence sur le terrain.

Toutes les 2 à 5 semaines, ils reviennent dans les locaux et nous racontent ce qu’ils ont là-bas. On leur pose donc tout un tas de questions assez naïves : « Dis-nous où vous êtes descendu ? », « Où avez-vous dormi ? »,

« Est-ce que vous avez pris cette route ? » etc…

En mars dernier, pendant l’élaboration d’une carte de Mykolaïv, les journalistes nous ont raconté des histoires de territoire. L’un disait « Nous avons bu du vin dans ce bar, mais juste à côté de là une usine venait d’être touchée par les russes.

Leurs témoignages sont extrêmement précieux car ils confirment ou non les données que nous avons collectées. Une véritable aide lors de la production de nos cartes.

Justement, combien de temps prenez-vous pour produire une seule cartographie ?

Chacune de nos éditions papier publie une cartographie sur le conflit. La rédaction impose donc aux binômes un rythme effréné. 24 heures pour réaliser une carte.

Pour atteindre l’objectif, la collecte, l’analyse, la visualisation des données se fait en même temps que la réalisation sur Adobe Illustrator.

Dernière étape : l’adaptation web du dessin. Une journée supplémentaire nous est donnée pour la faire.

Comment se déroule, donc, cette adaptation du format papier A3 au format web ?

Les illustrateurs et cartographes vont travailler en équipe avec le développeur.

Ensemble ils vont, d’une part, ajuster la dimension de la cartographie et d’autre part la simplifier. Changer les symboles, la police, les titres, déplacer la légende, le tout en gardant les mêmes couleurs. Exemple type avec notre carto de Marioupol.

A ce jour, toutes nos 200 cartes ont été déclinées de manière spécifique pour le web.

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Réforme des retraites : une mobilisation qui ne fait que commencer https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/reforme-des-retraites-une-mobilisation-qui-ne-fait-que-commencer/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/reforme-des-retraites-une-mobilisation-qui-ne-fait-que-commencer/#respond Wed, 08 Feb 2023 11:18:31 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=241312 L’article Réforme des retraites : une mobilisation qui ne fait que commencer est apparu en premier sur Master Journalisme - Gennevilliers.

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Le 31 Janvier 2023

manifestation

2,8 millions de personnes, selon les syndicats, se sont réunis Place d’Italie ce mardi 31
janvier pour une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites présentée
par la première ministre Elisabeth Borne.
Syndicalistes, parents, jeunes, retraités… La foule était mixte et dense lors de cet après midi
de Janvier perturbé par les nombreuses manifestations et grèves dans tout le pays. Le
cortège partant de Place d’Italie jusqu’à la place Vauban, devant le dôme des Invalides, était
organisé par différents syndicats, la CFTC en tête. De nombreuses organisations syndicales
lycéennes et étudiantes participaient à la marche, ce qui conteste l’idée que les jeunes se
sentent moins concernés par la réforme. “Macron démission ! La rue elle est à qui ? Elle est
à nous !” scandaient les manifestants dans les rues du sud de la capitale. Pour ceux qui
étaient derrière, il fallait marcher très vite, voir courir pour atteindre le devant du cortège, tant le nombre de marcheurs était important.
Je pense qu’aujourd’hui, il y a moins de monde que le 19” nous dit Sandrine, fraîchement
retraitée, avant de revenir vers nous dix minutes plus tard pour nous exprimer son doute.
Avant que les chiffres ne soient annoncés, il était clair que si les manifestants n’étaient pas
plus nombreux que lors de la première mobilisation, ils l’étaient au moins autant. Le
mouvement est par ailleurs reconduit les 7 et 11 février, le texte de loi qui porte sur le report
de l’âge légal de départ à la retraite étant examiné le lundi 6 février.

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Les mamas de Grigny, un traiteur solidaire https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/les-mamas-de-grigny-traiteur-solidaire/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/les-mamas-de-grigny-traiteur-solidaire/#respond Fri, 01 Oct 2021 06:59:22 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=12680 Figures familières du parvis de la gare et ses brochettes, les Mamas de Grigny s'essaient aux fourneaux du coeur sous la tutelle du GRDR. Ces 8 femmes immigrés originaires d'Afrique ont lancé un service de restauration destiné aux populations défavorisés de la ville, la plus pauvre de France. Encadré par la mairie et l'ONG, le projet valorise le savoir-faire de ces mères de famille.

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Photo : Lundi et Oumou coupent des tomates ©Laura-Esméralda Salgon

Ces 8 femmes immigrés originaires d’Afrique ont lancé un service de restauration destiné aux populations défavorisés de la ville, la plus pauvre de France. Encadré notamment par la mairie et l’ONG Grdr, le projet valorise le savoir-faire de ces mères de famille.

Ce jeudi matin, Koudedia, Lundi, Damba et Oumou s’activent en cuisine dans une ambiance joyeuse. Elles épluchent les carottes, coupent les oignons et préparent les cuisses de poulet pour le couscous qu’elles vendront au Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Grigny. L’établissement public distribuera ensuite les plats « cuisinés avec amour » à des personnes en grande précarité. L’association les Mamas de Grigny est un restaurant solidaire qui réunit huit « mamas » immigrées d’origine africaine qui cuisinent mafé, couscous ou encore tieb, chaque lundi et jeudi matin dans la petite cuisine de l’épicerie solidaire de la commune. Un aboutissement, pour ces femmes qui sont souvent dans une situation irrégulière, contraintes de vendre brochettes ou maïs sur le parvis de la gare de Grigny, pour joindre les deux bouts.

Cécile Lundi que tout le monde appelle Lundi s’attelle à couper les oignons. Originaire du Congo, elle a quitté ses deux enfants pour s’installer en France. Le projet des Mamas de Grigny s’inscrit dans la continuité de son histoire personnelle. « Nous, en Afrique, nous avions un restaurant et une pâtisserie. Nous vendions des cakes, des croissants et des beignets. », énonce-t-elle avec une pointe de fierté dans la voix. Lundi s’est installée à Grigny, il y a cinq ans après avoir quitté Paris car son logement était « trop petit ». Depuis son arrivée en France, elle s’est échinée à trouver du travail. « Ici, on n’a pas le choix, on travaille. On est venus pour travailler » affirme-t-elle. La mère de famille âgée de 50 ans travaillait à temps partiel en tant que femme de ménage dans un collège à Rueil Malmaison (Yvelines), pendant 8 ans. « Il m’arrivait parfois de rentrer à 22 heures, avec les transports », confie Lundi. En parallèle, elle vendait de la nourriture africaine sur le parvis de la gare. Six personnes se partageaient les escaliers qui surplombent l’arrêt du RER D de Grigny, vendant brochettes, prunes ou encore écouteurs. « On a eu des problèmes avec la police. Ils contrôlent, ils fouillent puis jettent toute la marchandise à la poubelle » déplore Koudedia, une autre mama, une Malienne de 39  ans.

« C’est Roberta qui est venue nous chercher sur le parvis de la gare »

Cécile Lundi, membre des Mamas de Grigny

Il aura fallu une rencontre décisive pour que les deux femmes se lancent dans l’aventure les Mamas de Grigny: « C’est Roberta qui est venue nous chercher sur le parvis de la gare » raconte Lundi. Roberta Bocca fait partie du Grdr (Migration-Citoyenneté-Développement) une ONG qui œuvre en faveur du développement en Afrique de l’Ouest, en France et en Europe. La jeune femme à l’accent italien chantant est venue à Grigny il y a un an et demi pour faire un simple rapport sur les vendeurs à la sauvette. Très vite, elle repère le potentiel de ces femmes. « Quand je suis arrivée à Grigny, on m’a dit que six femmes m’attendaient à mon bureau à Pablo Picasso. Je ne savais pas à quoi m’attendre. J’étais gelée, elles me regardaient sans rien dire pendant que je leur présentais le projet. Puis à la fin elles m’ont dit: “Oui, on est d’accord, on y va.’ », se remémore Roberta.

L’association leur fournit ensuite l’appui nécessaire pour qu’elles développent le restaurant : cours de cuisine avec des chefs, soutien juridique et formation de marketing et de communication. « Elles ont des compétences et des capacités de cuisine formidables », s’émerveille Roberta face à la rapidité d’apprentissage des Mamas de Grigny, « elles sont capables de s’adapter à une cuisine totalement différente de leur pays d’origine ».

« Une fois que nous aurons la réponse de la mairie pour les aides et que nous aurons imprimé les flyers, les gens viendront. » espère Lundi. Pour l’instant, l’association travaille dans une petite maison, à dix minutes à pied de la gare. « Si on veut cuisiner à terme pour 300 personnes, on a besoin de quatre plaques de cuisson plus grandes » ajoute Lundi. Si Roberta reconnaît que la mairie a été d’une grande aide, elle regrette qu’à ce jour ces femmes ne puissent pas recevoir une rémunération suffisante pour leur travail « Certaines continuent leur activité sur le parvis de la gare. Elles disent qu’elles sont bénévoles et ça me déprime ». Ce jeudi matin, des architectes sont venus inspecter les locaux partagés pour évaluer les travaux à faire. Mais la jeune femme membre du Grdr veut y croire. Pour elle, développer ce genre d’initiatives avec des femmes issues de l’immigration a de nombreuses vertus : « On s’est rendu compte que passer par la cuisine aidait à débloquer beaucoup de situations socio-professionnelles et familiales. On développe un lien de confiance ». Amandine Spire, maître de conférence en géographie à l’Université Paris VII et qui fait partie du projet depuis six mois, abonde en ce sens : « C’est la reconnaissance d’une activité économique. C’est donner la place à des personnes peu entendues qui sont souvent dans des situations irrégulières et dans une grande précarité ». Olivier Cousin, réalisateur de Murs de Papiers, renchérit « On cherche à donner de la visibilité à ces femmes en leur redonnant leur place et en suscitant le débat. » Ce matin-là, Olivier Cousin et Amandine Spire se rendaient à la mairie de Grigny pour rencontrer des élus.

L’association souhaite alerter les élus locaux certes mais aussi donner une autre image de la ville la plus pauvre de France. « On parle toujours de la pauvreté et de la misère à Grigny. J’espère qu’avec ce genre d’initiatives on pourra mettre en lumière quelque chose de positif » conclut Roberta.


Un reportage de Jade Le Deley et Laura-Esméralda Salgon

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CYU MAG https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/cyu-mag/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/cyu-mag/#respond Fri, 22 Jan 2021 09:08:37 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=11290 Dans le cadre de l’Atelier de Radio du jeudi 10 décembre, les étudiants en master 1 de CY Cergy Paris Université, ont mis en place un magazine divisé en quatre parties. Un Atelier et un magazine encadré par le journaliste et formateur, François Lepage. Partie 1 du magazine : animée par Paul Delahaye, avec le […]

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Dans le cadre de l’Atelier de Radio du jeudi 10 décembre, les étudiants en master 1 de CY Cergy Paris Université, ont mis en place un magazine divisé en quatre parties. Un Atelier et un magazine encadré par le journaliste et formateur, François Lepage.

Partie 1 du magazine : animée par Paul Delahaye, avec le flash info de Emma Piau et les reportages de Nicolas Cossic, Clémentine Eveno, Sacha Carion et Lydie Galipo.

Partie 2 du magazine : animée par Sacha Carion, avec le flash info de Sophie Cayuela et les reportages de Emma Piau, Pierre Leriche, Laura-Esmeralda Salgon et Dov Berrebi.

Partie 3 du magazine : animée par Nicolas Cossic, avec le flash info de Dov Berrebi et les reportages de Guillaume Pomade, Paul Delahaye et Valentin Kany.

Partie 4 du magazine : animée par Guillaume Pomade, avec le flash info de Valentin Kany et les reportages de Timothé Goyat, Sophie Cayuela, Mona Sarr et Julia Burgevin.

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