Medias en seine Archives | Master Journalisme - Gennevilliers https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/mot-clef/medias-en-seine/ De la presse écrite au web Journalisme Thu, 26 Nov 2020 10:22:47 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/wp-content/uploads/logo-CYU-1-1-150x150.png Medias en seine Archives | Master Journalisme - Gennevilliers https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/mot-clef/medias-en-seine/ 32 32 « Mignonnes », rejeté par « les croyances twitter » selon Maimouna Doucouré,sa réalisatrice https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/mignonnes-rejete-par-les-croyances-twitter-selon-maimouna-doucouresa-realisatrice/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/mignonnes-rejete-par-les-croyances-twitter-selon-maimouna-doucouresa-realisatrice/#comments Wed, 25 Nov 2020 11:35:20 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=10893 A sa sortie en Aout dernier sur Netflix, le film français « Mignonnes » a fait face à un torrent de polémiques. Sa réalisatrice Maimouna Doucouré revient sur le parcours de ce film à l’occasion de l’évènement Médias en seine. Après un retour sur son parcours avec le journaliste média, Nicolas Madelaine, Maimouna Doucouré a parlé de […]

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A sa sortie en Aout dernier sur Netflix, le film français « Mignonnes » a fait face à un torrent de polémiques. Sa réalisatrice Maimouna Doucouré revient sur le parcours de ce film à l’occasion de l’évènement Médias en seine.

Après un retour sur son parcours avec le journaliste média, Nicolas Madelaine, Maimouna Doucouré a parlé de Mignonnes. Son héroïne, Amy, 11 ans, hésite entre le respect des traditions religieuses inculquées par sa famille et son intégration dans un groupe de danse aux mouvements des plus lascifs.  « J’ai mis près de deux ans à écrire le scenario, avec un an et demi d’enquête poussée pour être au plus proche de la réalité » raconte la réalisatrice.

« Mignonnes » au coeur d’une polémique

En pleine promotion, Netflix USA, qui a racheté les droits du film, dévoile le visuel pour les Etats Unis. Sur Twitter, les internautes reprochent un choix d’image plus provoquant que l’affiche du film sortie en salle française le 19 Aout dernier. On y découvre les actrices en tenue moulante, posant avec des attitudes jugées provocantes. Netflix s’excuse et modifie le visuel ainsi que le descriptif initialement posté.

A sa sortie, le film est accusé d’ « islamophobie » et de « pédophilie » aux Etats Unis et est censuré en Turquie. Pour Maimouna Doucouré, « Il y a des millions de personnes qui  n’ont pas voulu voir le film par eux même  à cause des croyances Twitter. (…) Pourtant, faut recentrer le débat. On a le même combat »

Streaming et cinéma, compatibles ?

Pour Maimouna Doucouré, la diffusion de son film sur Netflix est une opportunité de le présenter dans 180 pays. Elle reconnait l’importance des plateformes de streaming pour les productions audiovisuelles. « Je suis attaché au Cinéma, (…) mais les deux ne sont pas incompatibles. En tant que spectatrice, je suis contente de découvrir des films sur les plateformes. Ce sont des lieux de partage important pour faire tomber les frontières et voir des histoires universelles » conclut -elle.

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Médias en Seine : Les éditeurs français désireux de développer des partenariats commerciaux avec les GAFA https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/medias-en-seine-les-editeurs-francais-desireux-de-developper-des-partenariats-commerciaux-avec-les-gafa/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/medias-en-seine-les-editeurs-francais-desireux-de-developper-des-partenariats-commerciaux-avec-les-gafa/#comments Wed, 25 Nov 2020 09:30:28 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=11053 Lors de la conférence « Éditeurs et GAFA, peut-il y avoir un partenariat gagnant ? », organisée par Médias en Seine le jeudi 18 novembre, les éditeurs français se sont montrés optimistes vis-à-vis des futurs accords commerciaux avec les géants de la tech. Les relations entre la presse et les GAFA (Google, Amazon Facebook et Apple) prennent un […]

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Lors de la conférence « Éditeurs et GAFA, peut-il y avoir un partenariat gagnant ? », organisée par Médias en Seine le jeudi 18 novembre, les éditeurs français se sont montrés optimistes vis-à-vis des futurs accords commerciaux avec les géants de la tech.

Les relations entre la presse et les GAFA (Google, Amazon Facebook et Apple) prennent un virage décisif. Le géant Américain Google a annoncé le jour même du festival des médias avoir signé un accord avec des journaux français afin de rémunérer l’utilisation de leurs contenus.

Une première mondiale pour les éditeurs de la presse quotidienne et magazines que sont Le Monde, Courrier International, L’Obs, Le Figaro, Libération et L’Express. L’accord s’inscrit dans le cadre de la législation européenne sur les droits voisins.

Un tournant historique

« Nous sommes à une époque véritablement historique, on est actuellement en train de renégocier les termes de la compensation concernant l’utilisation de notre contenu », a souligné d’emblée David Chavern, PDG de la News Media Alliance qui regroupe 2 000 groupes de presse journaux américains, au cours de l’événement, ajoutant que la « nouvelle administration Biden sera encore plus agressive dans ces domaines-là. (…) C’est évident que ça ne plaît pas aux principales plateformes techno. Parce qu’elles vont devoir commencer à payer le contenu comme on paye à l’heure actuelle pour la musique ».

Le PDG de l’Agence France Presse Fabrice Fries a affirmé être « optimiste » quant aux relations avec les GAFA et l’agence de presse : « On sent depuis quelques mois un changement d’attitude des plateformes qui se font à l’idée de rémunérer les contenus ». Le contrat signé ce jour-là est la preuve même du changement de position de Google, qui accepte désormais de rémunérer les éditeurs de presse pour leurs contenus (vidéos et photos) dans le cadre du droit voisin.

Les GAFA à la recherche de qualité

Cette nouvelle position, le directeur numérique du groupe Bayard Presse Philippe Colombet l’a expliqué, par l’appétit qu’ont les plateformes « pour les contenus de qualité », produits par les éditeurs de presse. Il a estimé qu’il « faut que le journalisme soit financé, et si une loi permet de favoriser la création d’emplois durables, pourquoi ne pas utiliser ces outils également ? ».

Le PDG de l’AFP compte bien faire des plateformes ses principaux clients dès l’année prochaine. « Compte tenu de la taille et des discussions en cours avec les plateformes, l’objectif est de doubler notre chiffre d’affaires, soit 20 millions d’euros. Avec l’idée que Facebook et Google comptent parmi nos principaux clients », a déclaré Fabrice Fries. D’autres représentants de magazines ou encore l’AFP vont également vouloir négocier avec les plateformes. Nul doute que ces accords seront scrutés de près et donneront des idées aux autres pays de l’Union européenne et au-delà.

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