Grand Angle https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/sujet/confinement/grand-angle/ De la presse écrite au web Journalisme Tue, 12 Jan 2021 20:32:56 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/wp-content/uploads/logo-CYU-1-1-150x150.png Grand Angle https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/sujet/confinement/grand-angle/ 32 32 Covid-19 : etudiantes en roumanie et contraintes de rentrer en france https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/covid-19-etudiantes-en-roumanie-et-contraintes-de-rentrer-en-france/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/covid-19-etudiantes-en-roumanie-et-contraintes-de-rentrer-en-france/#respond Thu, 07 Jan 2021 11:15:56 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=11157 Que faire lorsque l’on étudie à l’étranger en temps de pandémie ? Alexandra et Julie ont choisi Cluj (Roumanie) pour obtenir un diplôme de vétérinaire européen, faute de places en France. Mais en novembre, la seconde vague du Coronavirus menaçait les frontières de fermer à tout moment. Vols supprimés, elles témoignent de leur itinéraire pour […]

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Que faire lorsque l’on étudie à l’étranger en temps de pandémie ? Alexandra et Julie ont choisi Cluj (Roumanie) pour obtenir un diplôme de vétérinaire européen, faute de places en France. Mais en novembre, la seconde vague du Coronavirus menaçait les frontières de fermer à tout moment. Vols supprimés, elles témoignent de leur itinéraire pour rentrer chez elles auprès de leur famille.

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Confinement Acte II : La mise à l’écart de la culture https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/confinement-acte-ii-la-mise-a-lecart-de-la-culture/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/confinement-acte-ii-la-mise-a-lecart-de-la-culture/#respond Sat, 05 Dec 2020 16:44:15 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=11096 « Je suis en colère plus qu’autre chose ». C’est ce qu’a ressenti Mathilde Flament-Mouflard intermittente du spectacle et ce que ressent le monde de la culture, à l’encontre d’un gouvernement qui les a délaissés pendant ce second confinement, débuté le 29 octobre. Le monde de la culture dans son ensemble a eu le sentiment d’être oublié […]

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« Je suis en colère plus qu’autre chose ». C’est ce qu’a ressenti Mathilde Flament-Mouflard intermittente du spectacle et ce que ressent le monde de la culture, à l’encontre d’un gouvernement qui les a délaissés pendant ce second confinement, débuté le 29 octobre.

Le monde de la culture dans son ensemble a eu le sentiment d’être oublié lors de ce second confinement. Une mise à l’écart de la société, provisoire, qu’ils comprennent au vu du caractère non-essentiel des cinémas ou théâtre dans cette crise sanitaire, mais qu’ils trouvent incohérente.

« C’est rageant »

Mathilde regrette le manque de cohérence dans les prises de décisions : « Je suis en colère plus qu’autre chose.On voit toutes les solutions possibles, mais on ne sait pas à qui s’adresser pour les donner et on a l’impression qu’elles ne seraient même pas entendues », déplore-t-elle. Avis partagé par Clémentine Malandin, comédienne, qui considère la fermeture des lieux culturels rageante, alors que les « conditions sanitaires étaient très bien respectées jusqu’à présent ».

« Beaucoup de théâtres se sont arrangés pendant le couvre-feu pour jouer plus tôt. Là, pendant le confinement, c’est très contraignant. On a l’impression de ne pas être considéré, on ne voit pas notre ministre de la Culture », souligne Mathilde. Avant d’ajouter : « On ne peut pas jouer dans une salle de spectacle où il y a la distanciation sociale mise en place avec une jauge baissée de 50 %. Mais par contre on peut prendre le train où tout le monde est côte à côte sans nettoyage entre les changements de personnes. Alors que dans une salle de spectacle, c’est le cas ».

Un manque de considération de la part de l’État

Pour Clémentine, la mise à l’écart de la culture a été blessante. « C’est hyper douloureux. On demande juste une reconnaissance de ce qu’on est. J’ai l’impression qu’on est juste des saltimbanques, un peu irresponsables. », constate-t-elle, désemparée vis-à-vis de cette situation.

Une reconnaissance qui passe également par la compréhension de cette profession. Mathilde est régulièrement confrontée à la question « Quel est ton métier ? ». La réponse est difficile à donner puisque l’intermittence du spectacle comporte une multitude de métiers. « C’est important de dire qu’intermittent ne veut pas dire chômeur. J’en ai douze à la fois. Je suis comédienne, metteuse en scène, chargée de production. Hier sur le tournage que j’ai fait, j’ai passé quatre heures à faire un costume, c’est habilleuse, costumière. », résume-t-elle.

Cette absence de considération ne date pas du second confinement. Elle s’est notamment ressentie lors de la visioconférence d’Emmanuel Macron avec les acteurs de la culture le 6 mai 2020. Une situation qui a marqué l’intermittente : « Il nous avait dit ‘’d’enfourcher le tigre’’ et d’aller ‘’chercher ce qui va lui permettre -la culture- de survivre : du fromage, du jambon’’. On avait envie de dire que ce n’est pas parce qu’on fait de la culture qu’on ne peut pas nous parler comme on parle au monde de la finance »,se souvient-elle.

Une saison potentiellement bouchée

Les intermittents du spectacle veulent reprendre le chemin des répétitions, voir le public pleurer, rire, réagir à leurs représentations. « On ne demande que ça de travailler. Ça fait longtemps qu’on n’a pas vu le public, l’adrénaline manque », résume Mathilde. Les troupes risquent pourtant de se retrouver face à une pénurie d’offre au moment de proposer leurs spectacles pour la saison prochaine.  

La programmation de l’année prochaine va en grande partie concerner les reports de la saison 2020-2021, dus au Covid-19. « C’est compliqué, car on ne sait pas quels lieux sont complets et lesquels ont encore de la place. On travaille plus sur 2022-2023, alors qu’en temps normal, on serait en train de prévoir la saison prochaine », analyse-t-elle.

Si les salles de spectacles publics et privées sont complètes, les artistes vont devoir trouver des alternatives pour survivre. « Je vais sûrement animer des goûters d’anniversaire ou faire des trucs d’administrations dans le théâtre. On n’est pas là à 100 % à s’éclater, mais on le fait avec autant de sérieux que les choses qu’on aime. J’en ai marre que les gens pensent que parce qu’on est artiste, on est là tout le temps à s’éclater », précise Clémentine, qui espère retrouver la scène rapidement.

La lumière au bout du couloir

Alors qu’il avait omis de parler du monde culturel lors de sa précédente allocution, Emmanuel Macron a veillé à ne pas reproduire la même erreur ce mardi 24 novembre. « Nous soutenons tous les acteurs de la culture, à qui, je le sais, nous avons tant demandé, mais qui ont tenu, créé, innové, su trouver de nouveaux publics dans ce contexte si difficile. Nous avons besoin d’eux », a vanté le chef de l’Etat dans son discours.

Nombreux sont ceux, dans le monde du spectacle, à avoir demandé une réouverture des lieux culturels, considérés « comme non-essentiels ». Le discours prononcé par le président de la République est un début de soulagement pour les professionnels. Les musées, les salles de spectacle vont devoir attendre le 15 décembre pour pouvoir accueillir du public.

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Among Us : le jeu social du confinement https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/among-us-le-jeu-social-du-confinement/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/among-us-le-jeu-social-du-confinement/#respond Sun, 22 Nov 2020 18:55:58 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=10579 Au moment où la France débute un nouveau confinement et que les sorties se font rares, les jeux vidéo font office de lieux d’évasion. Lorsque certains misent tout sur un mode histoire poussé et immersif, d’autres proposent à plusieurs individus de jouer ensemble pour passer un bon moment. C’est sur ce credo que se place […]

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Au moment où la France débute un nouveau confinement et que les sorties se font rares, les jeux vidéo font office de lieux d’évasion. Lorsque certains misent tout sur un mode histoire poussé et immersif, d’autres proposent à plusieurs individus de jouer ensemble pour passer un bon moment. C’est sur ce credo que se place le jeu dont tout le monde parle : Among Us.

Le premier confinement a été l’âge d’or d’Animal Crossing New Horizon. Le deuxième sera celui d’Among Us. A l’image d’un Loup-Garou, le principe du jeu est simple. 10 petits cosmonautes nommés crewmates sont chargés de l’entretien de leur vaisseau spatial. Pour régler les problèmes du vaisseau, des tâches sont confiées à chaque joueur. En début de partie, deux imposteurs sont désignés au hasard parmi les joueurs. Leur unique but est de tuer tous les crewmates pour gagner la partie. A chaque buzz ou si un cadavre est découvert, les joueurs procèdent à un vote, et débattent sur le choix (ou non) d’éliminer un membre de l’équipage. La particularité d’Among Us repose sur le fait que les joueurs ne peuvent que communiquer lors d’un vote. Pour gagner, les crewmates doivent éliminer tous les imposteurs (2 au maximum) ou terminer leurs tâches.

Mais alors qu’Among Us propose un graphisme minimaliste, des parties assez répétitives, et seulement 3 cartes différentes, qu’est ce qui fait son succès ? Comment ce jeu sorti en 2018 a-t-il pu exploser à ce point en 2020 ?

Un jeu d’interactions sociales

Le jeu développé par Innersloth attire car il peut rassembler jusqu’à 10 personnes. C’est rare pour un jeu vidéo et c’est bienvenue en cette période de confinement. 10 amis ont la possibilité de se connecter simultanément sur Discord et de jouer ensemble. Qu’est-ce que Discord ? C’est un logiciel de VoIP (Voice over IP) permettant à quiconque de communiquer avec ses amis, simplement en créant un groupe commun.

Les 10 amis vont alors jouer au jeu en respectant la règle ultime : on ne parle que lorsque la discussion est permise. Apparaissent alors un florilège de théories, de mensonges, d’accusations mais aussi des rires, des quiproquos, des règlements de comptes ou des moments d’hésitations. Les parties sont rapides, entre 10 et 20 minutes et les rôles d’imposteurs sont redistribués aléatoirement avant chaque nouvelle game. Among Us propose toutes sortes d’interactions sociales que l’on vit quotidiennement avec nos proches et qui nous manquent lorsque l’on est confiné. Ce besoin de contact humain et de vie sociale est traduit par des chiffres hallucinants :

Téléchargements journaliers d’Among Us et de Discord

Graphique téléchargement Among Us et Discord
  • 438 000 joueurs connectés simultanément fin septembre contre 6 000 le 1er juillet.
  • 217 millions de téléchargements total d’Among Us, plus de 3,5 millions de téléchargements journaliers.
  • Jusqu’à 800 000 téléchargements journaliers de l’application Discord.

« Cela arrive à un moment où les gens sont plus que jamais sur leur téléphone, tout en cherchant des moyens de communiquer entre eux dans un monde où les restrictions sociales sont nombreuses pendant la pandémie. Tout cela est combiné pour faire de Among Us l’expérience parfaitement divertissante pour cette période. »

Craig Chapple, analyste pour Sensor Tower

Le jeu est disponible gratuitement sur téléphone et au prix de 4€ sur ordinateur. Son faible prix n’est pas son seul atout. Il est aussi cross-plateform : les joueurs PC et smartphones peuvent se réunir sur les mêmes serveurs et jouer ensemble. Inconnu lors de sa sortie en 2018, il a été popularisé cette année par de nombreux streameurs tels que Squeezie, Antoine Daniel ou Kameto. Les viewers ont rapidement apprécié le jeu et se le sont approprié pour jouer avec leurs amis.

Mais comment faire si je n’ai pas 10 amis ? Ce n’est pas un problème ! De nombreux serveurs publics sont ouverts sur Discord. Ils permettent d’entrer en vocal avec des inconnus de toute nationalité recherchant eux aussi des personnes avec qui jouer. Les groupes ne manquent pas de membres. Je peux donc jouer à n’importe quelle heure, avec n’importe qui !

Screenshot d'un serveur Discord Among Us français

Among Us est un nouvel outil de sociabilisation. Une nouvelle carte à récemment été annoncée par les développeurs sur le compte Twitter qu’ils viennent de lancer. Près de 700.000 twittos y sont déjà abonnés.

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Conditions de travail des femmes de chambre à l’IBIS des Batignolles : 16 mois après, Accor n’en démord pas https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/conditions-de-travail-des-femmes-de-chambre-a-libis-des-batignolles-16-mois-apres-accor-nen-demord-pas/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/conditions-de-travail-des-femmes-de-chambre-a-libis-des-batignolles-16-mois-apres-accor-nen-demord-pas/#respond Sun, 22 Nov 2020 12:00:03 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=10922 Un gâteau d’anniversaire, des danses, des chants. Nous sommes le mardi 17 novembre. De loin, une célébration animée. De près, une protestation pour mettre fin aux conditions liées à la sous-traitance au sein de l’IBIS Batignolles. Juste à côté de la protestation, siège l’immense bâtiment en verre avec inscrit « ACCOR » en lettres d’or, premier groupe […]

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Un gâteau d’anniversaire, des danses, des chants. Nous sommes le mardi 17 novembre. De loin, une célébration animée. De près, une protestation pour mettre fin aux conditions liées à la sous-traitance au sein de l’IBIS Batignolles. Juste à côté de la protestation, siège l’immense bâtiment en verre avec inscrit « ACCOR » en lettres d’or, premier groupe hôtelier européen. Dans un des bureaux et depuis seize mois, le PDG Sébastien Bazin ne cède pas. 

Des conditions de travail insoutenables

« C’est une catégorie très défavorisée, avec des conditions de travail très dures (…). Il faut qu’on s’y mette tous, je vous promets qu’on fait tous les efforts. » La déclaration d’un délégué syndical ? Non, celle du camarade Bazin, PDG d’Accor sur France Inter. Les efforts à faire, voilà seize mois que les femmes de chambres, soutenues par la CGT-HPE (Hôtels de Prestige et Economiques) les demandent. Ce qui les soulagerait, c’est de faire partie du groupe Accor et non plus de son sous-traitant la société STN. Rachel, une des grévistes, a connu quatre sociétés de sous-traitance différentes alors qu’elle travaillait à l’IBIS Batignolles. Seize mois après la mobilisation, le PDG qui dit « faire tous les efforts » refuse.

« Certains pleurent quand ils sont tristes. Nous on chante et on danse. Mais tout ça c’est bien de la souffrance. » Rachel

La fin de la sous-traitance, c’est la possibilité pour les femmes de chambre d’avoir les mêmes avantages et conditions de travail que les autres personnes qui travaillent au sein de l’IBIS Batignolles. Cela signifierait ne pas pouvoir être changées d’hôtel au simple bon vouloir de la direction, avoir les mêmes avantages sociaux que les autres salariés. Ce serait aussi la fin de l’illégalité : le paiement à l’heure et non à la chambre (3 chambres et demie par heure). L’enjeu, ce serait aussi de pouvoir mettre fin aux problèmes de santé comme les problèmes de dos et les tendinites. Rachel explique : « Certains pleurent quand ils sont tristes. Nous on chante et on danse. Mais tout ça c’est bien de la souffrance. »

Ménage sous-traité, personnes maltraitées ?

« Ca fait 17 ans que je suis en France et que je travaille. Je me dis que si on est traitées comme ça, c’est parce qu’on est étrangères et noires » déplore Rachel. Depuis la pandémie, le taux d’occupation des chambres à Paris est de 20%. Rachel est au chômage partiel depuis mars mais elle continue la mobilisation. Les femmes de chambre de l’IBIS Batignolles sont pour la plupart des femmes immigrées. Selon leur soutien à la CGT-HPE, Claude Levy, les sociétés de sous-traitance jouent sur la « classe sociale, la précarité, et le fait que certaines doivent renouveler leurs papiers grâce à un contrat de travail. » La CGT-HPE va intenter une action en justice auprès d’Accor pour « discrimination raciale ». Accor a été épinglé  par l’Etat français pour discrimination à l’embauche en février dernier suite à une opération de testing.

«On est essentielles à l’hôtel : sans la propreté, les touristes ne viennent pas. » Rachel

«Le groupe Accor nous traite comme des sous-hommes, mais c’est nous qui le faisons vivre » s’écrie Rachel. « On est essentielles à l’hôtel : sans la propreté, les touristes ne viennent pas. Je suis sûre que Monsieur Bazin, avec sa cravate, ne sait même pas faire un lit. » Selon Claude Levy, « quand vous commencez à entrer en conflit avec Accor, vous ne savez pas quand ça va finir ». Malgré les mobilisations, les soutiens, les chants, Monsieur Bazin et ses 800 000 chambres dans 110 pays ont décidé que pour l’instant, l’internalisation, c’était non. 

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Xbox Series vs PS5 : la next-gen à l’assaut du re-confinement https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/xbox-series-vs-ps5-la-next-gen-a-lassaut-du-re-confinement/ https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/xbox-series-vs-ps5-la-next-gen-a-lassaut-du-re-confinement/#respond Thu, 19 Nov 2020 15:45:50 +0000 https://www.master-journalisme-gennevilliers.fr/?p=10685 Mer ou montagne ? Messi ou Ronaldo ? Edward ou Jakob ? Tant de dualités qui ont détruit des familles entières et ce n’est pas le milieu jeux-vidéoludique qui dira le contraire. Alors une fois n’est pas coutume, la guéguerre pro-Playstation/Xbox-aficionados va pouvoir repartir de plus belle avec la sortie de la nouvelle génération de console de salon. […]

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Mer ou montagne ? Messi ou Ronaldo ? Edward ou Jakob ? Tant de dualités qui ont détruit des familles entières et ce n’est pas le milieu jeux-vidéoludique qui dira le contraire. Alors une fois n’est pas coutume, la guéguerre pro-Playstation/Xbox-aficionados va pouvoir repartir de plus belle avec la sortie de la nouvelle génération de console de salon. Si lors du dernier round, PlayStation avait écrasé la concurrence avec sa PS4, qu’en sera-t-il de ce nouvel épisode placé sous le signe d’un re-confinement national ?

Quelles différences ?

Pour cette nouvelle génération, les deux constructeurs ont fait le choix de proposer non pas une mais deux consoles disponibles à la vente. Chez Xbox, il y a donc le choix entre la « Series X », le modèle phare à 499€ et sa version « light » la « Series S », moins chère (299€), moins puissante et sans lecteur de disque. Pareil pour Sony qui met en vente deux modèles de PS5. Si elles sont identiques quant à leur puissance, la différence se fait dans le caractère 100% digital de la « PS5 Digital Edition », elle aussi sans lecteur optique. Il faudra débourser 499€ pour la version complète et 399€ pour la digitale. Du point de vue technique, les deux consoles se valent même si la Xbox Series X prend un léger avantage avec une mémoire interne plus importante (1024 Go de stockage SSD contre 825 Go pour la PS5) et quelques Teraflops de puissance graphique en plus.

Côté design, chacun se fera son avis entre les lignes élancées de la PS5 et l’aspect cubique de la Series X. Une apparence rectiligne qui n’a pas manqué de faire réagir de nombreux internautes, allant jusqu’à lancer le meme du ”Xbox Fridge“ (réfrigérateur Xbox, dans la langue de Molière).
Une ressemblance fortuite qui a bien fait rire le net à tel point que le 24 octobre dernier, la firme de Microsoft a présenté le frigo Xbox Series X grandeur nature, en partenariat avec la marque Electrolux et le rappeur Snoop Dog. Un joli clin d’œil plein d’autodérision.

SnoopDog et son frigo Xbox Serie X

On joue à quoi ?

Les machines sont donc plus puissantes que jamais, rutilantes à souhait et prêtes à faire tourner une multitude de nouveaux jeux. Alors quelles licences sont disponibles au lancement de cette nouvelle génération ? Numériquement parlant, l’avantage est encore légèrement à Xbox qui propose 25 jeux à sa sortie dont 7 exclusivités propres à la console (24 jeux dont 6 exclusivités pour la PS5).
La console de Microsoft met à disposition des titres tels que Gears Tactics, Samurai Showdown ou encore Yakuza : Like a Dragon. Une affiche intéressante mais qui peut laisser les adeptes d’Xbox sur leur faim, d’autant plus depuis l’annonce du report d’Halo Infinite, attendu depuis des années par les fans inconditionnels de la saga.

Du côté de la PlayStation 5, Sony repart sur les mêmes bases qui lui ont permis de gagner la 8ème guerre des consoles. En somme : du lourd, du très lourd et du très très lourd. C’était le point fort de la PS4 et ce n’est pas près de s’arrêter tant les exclusivités de la PS5 semblent alléchantes. Au programme dès la sortie, rien d’autre que des triples A tels que Demon’s Souls Remake ou encore le fameux Spider Man : Miles Morales, nouveau volet des aventures de l’homme-araignée. Tout cela sans parler des futurs titres exclusifs à venir comme Final Fantasy XVI ou le nouveau God of War.

Mais un des points forts de cette nouvelle génération se trouve dans la rétrocompatibilité des consoles. Souvent mis de côté par les constructeurs afin de vendre encore plus de jeux, cette solution va ravir les collectionneurs.  Sur PS5 comme sur Xbox Series X|S, il sera possible de jouer aux jeux de la génération précédente. Ceux qui se sont ruinés en achetant la next-gen dès sa sortie pourront donc se consoler en lançant leur vieux FIFA 18 ou The Witcher 3 sur leur nouvelle machine. Chouette.

Résultat des courses, encore une fois, le choix se fera donc en fonction des affinités de chacun avec le constructeur qu’il préfère. Les pro-PlayStation pourront continuer à croire qu’ils sont mieux lotis avec leurs exclusivités pendant que les fervents adeptes d’Xbox soutiendront que leur nouvelle console est un peu plus puissante. De cette guerre sans fin il n’y a jamais eu et il n’y aura sûrement jamais de réel vainqueur. Mais une chose est sûre, cette nouvelle génération va mettre tout le monde d’accord avec ses graphismes époustouflants et ses jeux à couper le souffle. La relève est assurée.



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